Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dies natalis - Page 2

  • 23 août : Anniversaire de la Naissance au ciel d'Estelle Faguette (1929)

    Voir le site internet du Sanctuaire de Pellevoisin

  • Anniversaire de la naissance au Ciel de Soeur Marie du Sacré-Coeur (Constance Bernaud), Fondatrice de la Garde d'Honneur

    Le 13 mars 1863, en la fête des Cinq Plaies de Notre Seigneur, vers quatre heures, Sœur Marie du Sacré-Cœur porte le premier cadran de la Garde d’Honneur à Mère Marie-Julie, supérieure du monastère de la Visitation de Bourg. Celle-ci le bénit et approuve volontiers qu’on inscrive les noms de toute la communauté autour du cadran, à l’heure choisie par chacune. La Garde d’honneur du Sacré-Cœur de Jésus est fondée.

    « J’ai ressenti, mieux que jamais, ce qu’est le Cœur de Jésus : un abîme d’amour incompris, rebuté, refoulé vers sa source ; combien ce très doux Cœur a souffert et souffre tous les jours de notre immense ingratitude ! Je le conjurai de me faire cette grâce de le faire un peu connaître et aimer… »
    Sœur Marie du Sacré-Cœur (1825-1903), 13 juin 1863.

    « Dieu Seul est, le reste n’est rien ! Si nous voulons boire à la source, avoir la vie, allons à l’Auteur de tout être, à Dieu Seul ! Si nous voulons grandir, prospérer, agir et aimer véritablement, recourons à Dieu Seul ! Il est Tout, le reste n’est rien d’autre qu’une ombre passagère. Nous avons bien du mal à nous en convaincre car notre nature exige le visible, le tangible, elle est déroutée par l’abstrait ! Nous ne voyons pas Dieu, c’est vrai, mais la foi nous le montre partout, en remplissant tout, en donnant la vie à tout ce qui existe. Tel le poisson qui se meut dans son élément vital, nous sommes au-dedans et au-dehors tout imprégnés de Dieu, et hélas, nul plus que Lui ne nous est autant étranger ! Imitons les saints, les amis de Dieu qui ont su trouver et posséder Dieu ! La paix sereine qui reluit sur leur visage résulte de cette recherche permanente qu’ils font de Dieu Seul. Ils le rencontrent sous le voile de toutes les créatures, à travers tous les incidents de la vie. Ils le possèdent par une vue de foi et par leur amour ardent. Possédant ce trésor unique, ils sont calmes au sein des tempêtes, riches même dans la pauvreté, inébranlables dans l’adversité… Face aux instabilités humaines et matérielles, détachons-nous de ce qui est périssable pour ne nous attacher qu’à ce qui est éternel, Dieu Seul. Dieu Seul dans nos pensées et dans nos intentions, Dieu Seul dans nos affections, Dieu Seul dans nos travaux, dans nos peines et nos joies. Dieu Seul partout car Il est Tout et le reste n’est rien ! »
    Sœur Marie du Sacré-Cœur.

    Site officiel de la Garde d'Honneur, à la Visitation de Paray-le-Monial

    anniversaire,naissance au Ciel,dies natalis,Soeur Marie du Sacré-Coeur,Constance Bernaud,fondatrice,Garde d'Honneur,Sacré-Coeur,Bourg,Paray-le-Monial,Visitation

  • Anniversaire du Dies Natalis de S.S. le Pape Léon XIII (1810-1903)

    Leon_XIII_02.jpg

    S.S. le Pape Léon XIII

  • 18 juillet : Anniversaire de la Naissance au Ciel de Soeur Consolata (Pierina Betrone), la première toute petite âme (1946)

    "Jésus, Marie, je Vous aime, sauvez les âmes !" est l'invocation que le Seigneur a indiquée à l’humble capucine pour reconquérir à la grâce et à la miséricorde, par un simple acte de confiance, des millions d’âmes tourmentées par le péché.
    Le 9 novembre 1934 soeur Consolata avait écrit : "Jésus m’a dévoilé les souffrances intimes de son Cœur qui sont provoquées par l’infidélité des âmes consacrées à Lui".
    (Source)

    « “Oui, demande le pardon pour la pauvre humanité coupable, demande pour elle le triomphe de ma Miséricorde et surtout, surtout demande la descente sur elle du feu du divin amour qui, comme une nouvelle Pentecôte, purifie l’humanité de ses grandes souillures... Demande-Moi l’amour, le triomphe de mon amour en toi et en toute âme qui existe maintenant et en toutes les âmes jusqu’à la consommation des siècles. Prépare par ta prière incessante le triomphe de mon Coeur, de mon Amour sur la terre... Raconte aux petites âmes, raconte à tous ma condescendance ineffable ; proclame à la face du monde combien Je suis bon et maternel, et comment Je ne demande en échange que l’amour à mes créatures... Aime-Moi pour tous, Consolata, et par ta prière et ton immolation prépare dans le monde la venue de mon Amour. Aime-Moi, Consolata, malgré les luttes et les chutes inévitables... Ne te laisse pas impressionner par une chute ; mais, intrépide, continue ton acte d’amour.” »

    Jésus à Soeur Consolata (1903-1946), extrait de son Journal (16 décembre 1935), in Jésus parle au monde du P. Lorenzo Sales (1889-1972, son directeur spirituel à partir de 1935), Éditions St-Canisius Fribourg (Suisse) / Editions Salvator Mulhouse (Ht Rhin), 1957.

    Soeur_Consolata-Betrone_1b.jpg

  • Mai : le mois de la Vierge Marie - 29ème jour

    Vingt-neuvième jour : La mort

    Jésus est l’auteur de la vie ; et, pour racheter nos fautes, pour nous ressusciter à la grâce que nous avions perdue par le péché, Il a voulu passer par la mort et par le sépulcre. La Très Sainte Vierge, sa Mère, a subi aussi la loi commune ; et, pour chacun de nous, le moment viendra où Dieu permettra à la mort de nous frapper ; cependant, nous n’y songeons pas. « Insensé, nous dit l’auteur de l’Imitation, pourquoi penser vivre longtemps lorsque vous n’avez pas un jour d’assuré ? Combien ont été trompés et subitement arrachés à la vie ! Que de fois avez-vous entendu dire : « Cet homme a été tué d’un coup d’épée ; cet autre s’est noyé ; celui-ci s’est brisé la tête en tombant d’un lieu élevé ; celui-là est mort en mangeant, un autre en jouant ; un tel a péri par le feu, un tel par le fer ; l’un, par la peste, l’autre par la main des voleurs ! C’est ainsi que la fin de tous est la mort et que la vie de l’homme passe aussi vite que l’ombre. »
    La mort est une punition du péché ; mais pour le chrétien qui a bien vécu, elle est le commencement de la vie. Tous nos efforts doivent donc tendre à nous préparer à ce passage du temps à l’éternité. Nous devons être prêts puisque nous ignorons le moment où Dieu nous appellera à son jugement ; si nous l’avons aimé et servi, que pourrions-nous craindre de Lui ?
    Le plus beau jour de la vie de la Très Sainte Vierge a été celui de sa mort, puisqu’elle la réunissait à son Fils pour l’éternité ; et les Saints soupiraient après le trépas qu’ils appelaient leur délivrance.

    Exemples. – Comme on demandait un jour à un Saint quel était le meilleur moyen de se préparer à la mort, il répondit : « Pensez chaque matin que c’est votre dernier jour, et chaque nuit, que vous pourriez mourir avant qu’elle ne soit terminée, et vous ne pécherez jamais. »
    C’est ainsi que nous devons nous préparer à mourir chrétiennement et à n’être point surpris par l’appel de Dieu.
    Les derniers moments de ceux qui ont servi le Seigneur n’ont du reste rien d’effrayant : Suarez, religieux de la Compagnie de Jésus, disait lorsqu’il était près d’expirer : « je ne savais pas qu’il fût si doux de mourir. »
    Puissions-nous à cette heure suprême nous écrier comme Saint Louis mourant : « Seigneur, j’entrerai en votre maison. Je vous adorerai dans votre temple, je glorifierai votre Saint Nom. »

    Prière de Saint Bonaventure. – Vierge Sainte, lorsque mon âme sortira de mon corps, daignez venir à sa rencontre pour la recevoir ; je vous en prie pour la gloire de votre Saint Nom, ô Marie ! ne me refusez pas alors la grâce de la soutenir par votre douce présence ; soyez son échelle et sa voie pour aller au Ciel. Ainsi soit-il.

    Résolution. – Je ferai chacune de mes actions comme si je devais pourir aussitôt après.
    Ô Marie, Patronne de la bonne mort, priez pour nous.

    "Mois de Marie pour tous", par M.A.G.
    Approbation + Flavien, Evêque de Bayeux et Lisieux, le 13 octobre 1874.
    Imprimatur Brugis, 23a Februarii 1932. Jos. Van der Meersch vic. gen.

  • 4 avril : Anniversaires

    Anniversaire de la Naissance au Ciel de Francisco Marto à Fatima (+ 1919)
    et de Mme Edith Royer, messagère du Sacré-Coeur (+ 1924)